Adieu Gary
Affiche du film Adieu Gary
Avec
Jean-Pierre Bacri(Francis)
Dominique Reymond(Maria)
Yasmine Belmadi(Samir)
Mhamed Arezki(Icham)
Sabrina Ouazani(Nejma)
Comédie sociale
Durée : 1h15
Sortie le : 22 juillet 2009
Critiques : Lire
C'est un premier film aérien, court, fragile: s'il séduit, c'est surtout parce qu'il est en osmose parfaite avec ses personnages : doux et discret comme eux… Bacri plus Bacri que jamais et vraiment très bon - Télérama
La bonne surprise de l'été au cinéma. Ce film pourrait devenir la perle de l'été… La liberté de Nassim Amaouche illumine son premier long-métrage. - Le Monde
Adieu Gary est un film d'une grande poésie, en partie grâce à son formidable décors mais aussi au magnifique tissage de relations entre les personnages… - La Croix
Adieu Gary est un premier film bourré de qualités… - L'Humanité
Une délicatesse, un humour et une foi qui font d' Adieu Gary un des plus beaux films de l'été. - VSD
L'un des talents de Nassim Amaouche est de traiter les mutations de la société avec habileté, poésie et tendresse, sans moralisme…Un film généreux sur la fierté. - Le Figaro
Un premier long-métrage réussi et fort, aux airs de western crépusculaire sur le monde ouvrier. Nassim Amaouche a réussi son coup, un grand coup. - Les Inrockuptibles
Le multiculturalisme est abordé avec humour et tendresse, via les relations père-fils interprêtées subtilement… - Témoignage chrétien
Le sens de l'espace et le goût de la poésie renforce la pudeur d'Amaouche quand il évoque les relations parents-enfants mais aussi les réalités de l'amour et les mirages d'une société en perte de repères. - Positif
Ne ratez sous aucun prétexte Adieu Gary… - Revue des deux mondes
La surprise poétique et politique de l'été. Nassim Amaouche réussir une chronique à la fois sociale et intimiste, juste de bout en bout et d'une belle originalité. - Le Canard enchaîné
Dans ce film original, poétique et tendre, Nassim Amaouche offre avec une mise en scène soignée une radiographie réaliste mais jamais noire d'une population marginalisée par le chômage. - Version Femina
Cette chronique sociale aborde en peu de mots et avec un charme infini, une infinité de thèmes… - Pariscope
Un film ambitieux qui relate avec pudeur et tendresse le quotidien d'un quartier fantôme. Un très beau premier film. - Brazil
Adieu Gary touche juste mais avec discrétion… - Politis
Un premier film réussi sur le monde ouvrier. - Studio Cinélive
Un regard sensible et désabusé, souvent drôle et inattendu et poétique. - Continental
Adieu Gary, réjouissant Prix de la Semaine de la Critique. - Le Monde (mai)
Des idées et du cœur : on pense à Robert Guédiguian: une belle référence - Marie-France.
Au milieu d'une cité de nulle part, une cité ouvrière vidée de sa population depuis quelques années déjà.
Pourtant certains habitants ont décidé d'y rester, plus par choix que par nécessité, parce que c'est là qu'ils sont nés et qu'ils ont grandi.
Parmi eux, il y a Francis , l'ouvrier consciencieux qui continue d'entretenir la machine sur laquelle il a travaillé toute sa vie. Il y a Samir, son fils qui revient après une longue absence. Il y a aussi Maria, la voisine qui habite seule avec son fils José qui veut croire que son père est Gary Cooper et qui va donc l'attendre tous les jours dans la rue de ce no man's land contemporain qui ressemble à s'y méprendre à un décor de western...
Grand Prix de la Semaine de la Critique Cannes 2009.
Le tournage s'est déroulé durant l'été 2008 en Ardêche presque entièrement dans la Cité ouvrière de Viviers.
Nassim Amaouche
Samuel Collardey
Julien Lacheray
Le Trio Joubran
Les Films A4
Studio Canal Distribution
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